Caractéristiques
- Titre : Mortelles Confessions
- Titre original : House Of Mortal Sin
- Réalisateur(s) : Pete Walker
- Avec : Anthony Sharp, Susan Penhaligon, Stephanie Beacham, Norman Eshley, Sheila Keith, Mervyn Johns
- Editeur : Artus Films
- Date de sortie Blu-Ray : 6 mars 2018
- Date de sortie originale en salles : Février 1976 (Royaume-Uni)
- Durée : 104 minutes
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- Note : 7/10 par 1 critique
Image : 4/5
Mortelles Confessions fait partie des premiers blu-ray sortis par Artus Films. Et pas de temps de latence : tout part sur des chapeaux de roues, ici avec un master de très belle qualité. La colorimétrie fait un sans faute, mettant en valeur un gros travail sur la photographie, entre le giallo est le style très reconnaissable de Pete Walker. Là encore, on trouvera encore quelques petites imperfections, notamment en terme de définition sur une toute petite poignée de plan, mais ce serait chipoter que d’en tenir rigueur. Enfin, on est totalement satisfait du travail de restauration : il ne subsiste aucune marque gênante.
Son : 5/5
Mortelles Confessions est disponible en version originale, sous-titrée en français, et la piste est un DTS HD Master Audi 2.0 du plus bel effet. Vous ne serez aucunement gêné par le moindre souffle, et ce même au casque. Les dialogues sont parfaitement découpés, et l’équilibre avec les musiques inquiétantes (signées Stanley Myers, que l’on connaît aussi pour ses compositions sur Voyage au bout de l’Enfer) ne souffre d’aucun coup de mou. Un pur régal pour les oreilles.
Bonus : 3/5
Mortelles Confessions est accompagné d’une présentation assurée par Alain Petit (qui a signé le livre Jess Franco, ou les prospérités du Bis), longue de quinze minutes, intitulée La maison des péchés. L’auteur nous régale d’anecdotes, lui qui a connu l’époque de la sortie des films. On aurait tout de même apprécié que l’ensemble soit un peu plus long, signe aussi de la qualité de cette intervention.
Synopsis
Jenny Welch vit avec sa sœur Vanessa, et mène une vie amoureuse instable après qu’elle s’est faite quitter par son amant. Elle se met alors à fréquenter un vieil ami d’enfance, Bernard, devenu prêtre. Devant la faiblesse de la jeune femme, il l’invite à aller en confessions avec le père Meldrum, un prêtre acariâtre et frustré. Ce dernier va alors prendre pour mission divine de « purifier » Jenny et de préserver leur étrange relation.
Critique
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