Caractéristiques
- Titre : The Suicide Squad
- Réalisateur(s) : James Gunn
- Avec : Margot Robbie, Viola Davis, Joel Kinnaman, Idris Elba, David Dastmalchian, Daniela Melchior, John Cena...
- Editeur : Warner Bros France
- Date de sortie Blu-Ray : 1er décembre 2021
- Date de sortie originale en salles : 28 juillet 2021
- Durée : 132 minutes
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- Note : 9/10 par 1 critique
Image 4K : 5/5
The Suicide Squad a été tourné en numérique (Red Komodo IMAX, Red Ranger Monstro IMAX et Red Weapon Monstro IMAX) et le Blu-ray 4K, au format respecté 1.85:1, est issu d’un master 4K avec un compression HEVC et une présentation en Dolby Vision (ou HDR10+). Concernant la définition, c’est un sans-faute. Les détails sur les visages (comme la barbe d’Idris Elba), costumes et décors sont excellents. Aucune baisse de définition et d’apparition de grain numérique n’est à déplorer. Les effets spéciaux (surtout King Shark, on voit bien tous les détails sur sa peau) passent bien en 4K.
Du côté des couleurs, elles sont précises et éclatent surtout lors des scènes dans la jungle et dans le combat final contre Stavro. On retiendra aussi les couleurs des costumes comme celui de Peacemeaker. Les contrastes sont aussi excellents, comme nous le prouve toute la scène de la plage qui se déroule de nuit. Les détails sont là aussi impressionnants lors de cette scène. Les noirs ne sont pas en reste pour toutes les scènes de nuit : aucun noir bouché à l’horizon.
La profondeur de champ est excellente et permet une bonne immersion dans le film. Quelques très légères saccades ont été détectées au début du film, mais rien de grave Au final, nous avons ici un excellent master, qui nous montre toute l’étendue d’un master 4K, que nous vous recommandons chaudement.
Son : 5/5
Warner Bros France (Orange Mécanique, Les Evadés) nous propose deux pistes en Dolby Altmos (avec un core en Dolby TrueHD 7.1). Des pistes très puissantes, précises, biens réparties, assez amples, avec énormément d’effets. Les dialogues sont clairs pour la VO et le niveau du volume du doublage pour la VF est bon sans empiéter sur le reste du mixage original.
Les effets d’ambiance (bruit dans la jungle, tirs, explosions etc.) sont nombreux et passent par tous les canaux avec une précision redoutable. Nous avons le droit aussi à quelques effets verticaux (l’effondrement de la tour Jotunheim ou le combat final contre Stavro). La musique et les chansons qui parsèment le long-métrage sont bien présentes et sont bien mixées avec le reste. Le caisson de basse est aussi excellement utilisé. On notera aussi une très bonne utilisation des infra-graves qui finira de nous achever. Deux très bonnes pistes, immersives à souhait, pour de bonnes expériences auditives.
L’éditeur nous propose aussi deux autres pistes en Dolby Digital 5.1. Celles-ci sont plutôt puissantes, assez amples, bien réparties, mais manquent de précision à cause de la compression. Les dialogues sont clairs pour la VO et le niveau du volume du doublage est bon et s’incorpore bien au mixage original. Les effets et la musique passent bien par les cinq canaux. Le caisson de basse est bien utilisé. Deux pistes alternatives intéressantes.
Bonus : 3/5
- Commentaire audio du réalisateur James Gunn
- Scènes coupées et versions longues (17′)
- Bêtisier (10′)
- Donner vie à King Shark (5′)
- Sacrée Squad! (11′)
- Du pur Gunn (7′)
- Analyse de scènes (25′)
- Starro :Un foutu Kaiju! (6′)
- Bandes annonces rétro (6′)
Nous commençons les bonus par les Scènes coupées et versions longues. Nous avons là huit scènes, pour une durée totale de 17 minutes. On retiendra la scène où Bloodsport et Flag discutent pour savoir pourquoi Amanda Waller a envoyé le Colonel à sa mort, mais aussi un intrigue secondaire sur King Shark, Ratcatcher 2 et Polka-dot man qui est intéressante, et enfin une mort plus violente pour le Thinker. Le traditionnel bêtisier est toujours amusant à visionner. Dans Donner vie à King Shark, l’équipe revient sur la création du monstre au travers de la capture du mouvement sur le tournage jusqu’à la voix de Sylvester Stallone. Ensuite, Sacrée Squad ! revient sur la création des personnages.
Du pur Gunn s’intéresse à la réalisation et au style de James Gunn, entrecoupé d’images du tournage. Analyse de scènes est un bonus en quatre parties et constitue le making-of du film. Les quatre parties sont respectivement centrées sur les création de la scène de la plage, celle du camp, l’évasion d’Harley et la destruction de Jotunheim. On est plongés dans le processus de création du film. Starro :Un foutu Kaiju ! s’intéresse à la création de Starro, que ce soit pour la préparation du film, le tournage avec une technique pour montrer aux acteurs la taille du monstre et enfin son intégration en CGI. Les bonus s’achèvent sur les trois bandes annonces du long-métrage version rétro façon film de guerre, policier et film d’horreur.
Conditions du test
- TV 4K UHD Sony Bravia KD49XF7077SAEP
- Lecteur Blu-ray Samsung 4K UHD UBD-M8500
- Ampli Yamaha 4K UHD YHT-1840
Synopsis
Bienvenue en enfer – aka Belle Reve, la prison dotée du taux de mortalité le plus élevé des États-Unis d’Amérique. Là où sont détenus les pires super-vilains, qui feront tout pour en sortir – y compris rejoindre la super secrète et la super louche Task Force X. La mission mortelle du jour ? Assemblez une belle collection d’escrocs, et notamment Bloodsport, Peacemaker, Captain Boomerang, Ratcatcher 2, Savant, King Shark, Blackguard, Javelin et la psychopathe préférée de tous : Harley Quinn. Armez-les lourdement et jetez-les (littéralement) sur l’île lointaine et bourrée d’ennemis de Corto Maltese. Traversant une jungle qui grouille d’adversaires et de guerilleros à chaque tournant, l’Escouade est lancée dans une mission de recherche et de destruction, avec le seul Colonel Rick Flag pour les encadrer sur le terrain… et la technologie du gouvernement dans leurs oreilles, afin qu’Amanda Waller puisse suivre le moindre de leurs mouvements. Comme toujours, un faux pas est synonyme de mort (que ce soit des mains de leurs opposants, d’un coéquipier ou de Waller elle-même). Si quelqu’un veut parier, mieux vaut miser contre eux – et contre eux tous.
Le Film
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