[Analyse] La Guerre du feu (1/3) : 40 ans après, le regard d’un préhistorien

Everett McGill incarne l'homme préhistorique Naoh dans La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.
Everett McGill incarne l’homme préhistorique Naoh dans La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.

À l’occasion du quarantième anniversaire du film La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud (1981), l’an dernier, nous avons revu cette œuvre unique, dont l’impact esthétique a été grand sur nous (à titre personnel) : le film nous avait profondément terrorisé, impressionné et touché lorsque nous l’avons vu pour la première fois à l’adolescence. Comme beaucoup de gens, nous avons cru voir les origines de l’humanité. En vérité, il s’agissait d’une fable librement située dans un contexte préhistorique, comme l’était déjà le roman de J.-H. Rosny aîné dont le film est l’adaptation ; sauf que le discours de Jean-Jacques Annaud et de la production, repris par la presse, a toujours insisté sur l’exigence de faire correspondre le film aux connaissances scientifiques de son temps. Il a depuis souvent été considéré, à tort, comme une représentation « scientifique » d’un moment du paléolithique, il y a 80 000 ans comme l’indique le texte d’ouverture. C’est pourquoi il nous a semblé nécessaire de l’aborder sous cet angle, pour mieux questionner (en creux) ce qu’est la fiction. Car La Guerre du feu demeure une fable.

Victoire : Gaw (Nicholas Kadi), Naoh (Everett McGill) et Amoukar (Ron Perlman) rapportent le feu à la fin de La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.
Victoire : Gaw (Nicholas Kadi), Naoh (Everett McGill) et Amoukar (Ron Perlman) rapportent le feu à la fin de La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.

Dans cette série de trois articles, nous allons interroger le contenu « préhistorique » de La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud, avec la complicité de Gaëtan Bourgeois, docteur en préhistoire et actuel responsable du Service Animation du Paléosite de Saint-Césaire. Confronter le film aux savoirs de son temps et d’aujourd’hui, c’est inévitable ; cela ne retire rien à ses qualités cinématographiques (dont nous pourrions discuter dans un autre article). Cette confrontation nous apprend bien des choses sur les humains de la Préhistoire, autant que sur la préhistoire comme discipline scientifique, mais aussi sur les relations entre les sciences et l’art.

Gaëtan Bourgeois : « Il est toujours intéressant de voir différentes étapes de reconstitution, chacune figée dans son temps et son contexte. Il est très important d’en prendre conscience : ça permet de prendre une petite leçon d’humilité quant à ce qu’on croit savoir, nous aujourd’hui, et qui sera peut-être la risée de nos successeurs… Qui eux-mêmes devront se rappeler qu’il est toujours plus facile de juger a posteriori. »

La femme préhistorique Homo sapiens Ika (Rae Dawn Chong) dans La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.
La femme préhistorique Homo sapiens Ika (Rae Dawn Chong) dans La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.

La Guerre du feu, une aventure de cinéma

Rappelons l’histoire de La Guerre du feu, 80 000 ans avant notre ère : à la suite d’une attaque par des ennemis (les Wagabou), la tribu des Oulhamr perd de nombreux membres et, surtout, leur feu s’éteint quand son gardien s’enfonce dans un marécage. Trois membres de la tribu (masculins) vont partir en quête du feu, qu’il ne savent pas produire, concurrencés par un autre groupe. Les trois protagonistes principaux vont pénétrer sur le territoire des cannibales Kzamm, qui ont capturé des Ivaka pour les dévorer. Les traits anatomiques des Oulhamr et des Kzamm dans le film évoquent des Néandertaliens, tandis ceux des Wagabou sont associés à une autre espèce humaine supposée éteinte à cette époque, Homo erectus. Les Ivaka sont quant à eux clairement Homo sapiens. Accompagnés par une femme Ivaka qu’ils ont délivré des cannibales, les trois Oulhamr vivent de nombreuses aventures, notamment une rencontre avec des mammouths annonçant la domestication des animaux, mais aussi l’attaque d’un ours des cavernes. Au fur et à mesure, les Néandertaliens découvrent de nouvelles techniques et de nouveaux concepts, qui les humanisent.

L'annonce de la domestication des animaux : Naoh donne de l'herbe à un mammouth. Dans le roman de Rosny aîné, il fait des mammouths ses alliés.
L’annonce de la domestication des animaux : Naoh donne de l’herbe à un mammouth. Dans le roman de Rosny aîné, il fait des mammouths ses alliés.

La Guerre du feu n’a sans doute rien perdu de ses qualités techniques et narratives si on considère l’année de sa production et ses conditions de tournage, qui témoignent de l’inventivité de Jean-Jacques Annaud et de son équipe pour raconter cette histoire dans des conditions incroyables, souvent éprouvantes. Pour s’en rendre compte, il faut écouter ou voir Jean-Jacques Annaud raconter ses anecdotes du tournage, notamment l’épisode fou et hilarant des éléphants déguisés en mammouths dans les montagnes d’Écosse !

Un mammouth dans La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.
Un mammouth dans La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.

Pour cela, n’hésitez pas, foncez sur les DVD et Blu-ray de La Guerre du feu, dans lesquels le cinéaste de L’Ours (1988) est, comme toujours, d’une grande générosité. Ses entretiens et commentaires audios sont des leçons de cinéma vivantes (l’auteur de cet article a eu la chance d’assister à l’une d’entre elles pour de vrai). Toutefois, les qualités du film que l’on peut encore apprécier ne doivent pas pour autant nous empêcher de le regarder avec un œil plus aiguisé, voire de porter un jugement sévère sur son impact sur la perception de la Préhistoire par le grand public.

Des mammouths dans La Guerre du feu (en vérité, des éléphants déguisés dans la montagne écossaise !).

L’adaptation d’un roman populaire de Rosny aîné

Gaëtan Bourgeois : « Cette œuvre mélange tout, et quand on a des notions en préhistoire, finalement on ne comprend pas ce qu’on voit. Mais ceci n’est pas un défaut du film à proprement parler, qui n’a fait que mettre en images le roman de J.-H. Rosny aîné. Ce qui me dérange c’est qu’il est présenté, à tort ou à raison, comme un grand film de vulgarisation scientifique…ce qu’il n’est pas ! C’est une adaptation d’un roman, qui lui non plus n’avait pas vocation à être proche de la réalité ! Et qui par ailleurs date maintenant de plus d’un siècle… »

Edition du roman La Guerre du feu de J.-H. Rosny aîné publiée chez Plon en 1930, avec une illustration de Carlège. Source : https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Guerre_du_feu
Édition du roman La Guerre du feu de J.-H. Rosny aîné publiée chez Plon en 1930, avec une illustration de Carlège. Source.

Il ne faut pas oublier en effet qu’avant d’être un film, La Guerre du feu est un roman paru en 1909, dont nous dirons simplement quelques mots. C’est une œuvre destinée à proposer une vulgarisation populaire des recherches en paléoanthropologie de son temps, sous la forme d’une histoire pré-publiée partiellement en magazine (Je sais tout, du 15 juillet au 15 octobre 1909). Or, il ne s’agissait pas alors d’autre chose que d’un conte ou d’un mythe dans un cadre préhistorique, à une époque où la préhistoire comme discipline commençait à acquérir les méthodes (notamment l’étude des fossiles et traces dans leurs strates géologiques) qui lui ont permis d’être reconnue comme une science. Comme le souligne Emmanuel Roudier qui a adapté le roman de Rosny aîné dans un cycle de bandes-dessinées (Éditions Delcourt, 2012-2014), l’écrivain avait renoncé pour La Guerre du feu aux précautions de la vulgarisation scientifique de ses livres précédents pour plonger le lecteur dans un monde préhistorique imaginaire, bien que basé sur des faits.

Le succès du roman La Guerre du feu mena à une première adaptation cinématographique en 1914 par l’acteur et réalisateur Georges Denola, avant celle de Jean-Jacques Annaud sortie en 1981. Or, le but de Jean-Jacques Annaud était de raconter l’histoire de Rosny aîné sous la forme d’une « aventure à la manière d’un documentaire » selon l’expression de son scénariste Gérard Brach1, en puisant dans leur passion commune pour la Préhistoire (une passion de famille pour Annaud). Une ambition risquant d’entrer en conflit avec la nature de l’histoire du roman originel (fable ou conte). De plus, de nombreux changements avaient affecté la discipline de la préhistoire depuis la parution de La Guerre du feu au début du XXe siècle, trop nombreux et trop complexes pour être résumés ici.

Les Néandertaliens Oulhamr se trouvent confrontés à une Homo sapiens Ivaka.
Les Néandertaliens Oulhamr se trouvent confrontés à une Homo sapiens Ivaka.

Gaëtan Bourgeois : « L’histoire de la discipline est un assez bon miroir trouble des changements sociétaux qui ont été traversés. On ne mesure plus “l’autre” à travers un prisme post-colonial. On octroie aujourd’hui bien davantage d’humanité aux autres espèces que la nôtre qu’alors. La paléogénétique a apporté des réponses à certaines questions qui restaient en suspens à l’époque. On sait maintenant que l’évolution est buissonnante et non linéaire, pour les humains comme pour les autres êtres vivants. L’humanité est biologiquement et culturellement plurielle, bien qu’Homo sapiens soit une espèce exceptionnellement seule aujourd’hui… Bref, les savoirs, les regards et les techniques ont beaucoup progressé. »

Lorsque Jean-Jacques Annaud entreprend d’adapter de nouveau le roman de Rosny aîné, le concept d’une guerre du feu est déjà rejeté par la communauté scientifique, selon laquelle elle n’avait « jamais eu lieu puisque l’homme en avait toujours eu la maîtrise2 » comme le résume le cinéaste. Jean-Jacques Annaud explique pourquoi il a tenu à raconter l’histoire du roman, quand bien même on l’en dissuadait :

« La Guerre du Feu avait un immense mérite, celui de proposer un thème simple et universel à un moment charnière de l’histoire de l’humanité : cette histoire simple d’un héros à qui l’on confie le destin de sa tribu, en lui demandant de ramener le feu que l’on ne sait pas faire, est une mission clairement identifiable, un drame humain auquel on peut se référer et qui propose une structure dramatique tout à fait exemplaire.3 »

Le simili-Néandertalien Naoh va s'humaniser au fur et à mesure de l'avancée de sa quête du feu.
Le simili-Néandertalien Naoh (Everett McGill) va s’humaniser au fur et à mesure de l’avancée de sa quête du feu.

Raconter une fiction préhistorique : un problème de langages

C’est dans la perspective de raconter une histoire universelle à la manière d’un documentaire que le scénariste et le réalisateur décident immédiatement de ne pas utiliser de langage parlé actuel, ce qui rendit le financement du film particulièrement difficile. Face à Gérard Brach qui doutait de la possibilité de raconter La Guerre du feu avec des gestes et un langage inconnu, Jean-Jacques Annaud lui fit la démonstration qu’il est possible de communiquer ainsi des informations et des émotions. Le réalisateur demanda au mime Desmond Morris d’inventer une gestuelle spécifique, or celle-ci suggère que les Néandertaliens de la tribu principale possèdent encore beaucoup de caractéristiques simiesques. Ceci est très improbable il y a 80 000 ans, tout comme les réflexes animaux tels que baver en voyant passer le gibier au loin, ou la démarche chaloupée après 7 millions d’années (au moins) de bipédie.

Gaw (Nicholas Kadi, crédité Nameer El-Kadi) et Ika (Rae Dawn Chong) dans La Guerre du feu.
Gaw (Nicholas Kadi, crédité Nameer El-Kadi) et Ika (Rae Dawn Chong) dans La Guerre du feu.

Jean-Jacques Annaud fit aussi inventer par l’écrivain et linguiste Anthony Burgess (Orange mécanique) un langage aux racines indo-européennes, en partant du postulat que la multitude de langues actuelles proviendrait d’un petit nombre de langues-mères. La langue inventée par Burgess mélange donc des racines d’anglais, de français et de multiples autres langues. La Guerre du feu a le mérite, de ce point de vue, de rappeler l’importance des langages pour le développement technique, via la transmission des connaissances et l’organisation des groupes humains, mais on peut juger aujourd’hui que la langue de la tribu principale néandertalienne est trop sommaire par rapport au niveau technique que révèlent les fouilles.

Gaëtan Bourgeois : « Un certain niveau de langage est nécessaire pour atteindre un certain niveau technique. La grande question est : à quel point ces deux éléments sont-ils corrélés ? Concernant les néandertaliens en particulier, il est très probable qu’ils avaient un langage élaboré. En effet plusieurs indices convergent en ce sens : le moulage endocrânien avec les aires de Broca et de Wernicke, la forme du palais, la forme de l’os hyoïde, la forme de leur oreille interne, le gène FOX-P2, leurs outils d’une haute technicité, la chasse au gros gibier et autres comportements complexes. »

Ron Perlman, au centre, au milieu d'hommes de sa tribu dans La Guerre du feu : des êtres humains préhistoriques très archaïques...
Amoukar (Ron Perlman), au centre, au milieu d’hommes de sa tribu dans La Guerre du feu : des êtres humains préhistoriques très archaïques…

Pour l’anecdote, il faut ajouter que la langue bien plus complexe de la tribu sapiens Ivaka est en vérité un dialecte Inuit, comme Jean-Jacques Annaud l’a raconté avec beaucoup d’humour. En effet, faute de temps pour développer leur langue, le cinéaste choisit une langue trop peu parlée dans le monde pour que cela puisse choquer le public et fit doubler les séquences par des Inuits. D’où un succès inattendu du film dans le genre « comique » dans les contrées arctiques, le doublage ayant été l’occasion de blagues graveleuses inconnues du reste du monde…

Jean-Jacques Annaud a-t-il bien représenté les hommes préhistoriques ?

La comparaison de la représentation des humains du paléolithique dans le film La Guerre du feu (qui se déroule 80 000 ans avant le présent) avec celle qui est permise par les connaissances actuelles peut suffire à porter un jugement très négatif sur l’œuvre de Jean-Jacques Annaud, au point de considérer qu’il mérite seulement d’être jeté aux oubliettes, ou simplement vu comme un reflet de conceptions désuètes de la Préhistoire. Il suffit de considérer le mode de vie bien trop primitif des Oulhamr qui constituent les personnages principaux : ces Néandertaliens ressemblent à des primates avec des peaux de bêtes jetées sur le corps, non traitées et à peine taillées, sans parures pour témoigner d’une sensibilité esthétique ou d’une organisation sociétale. Ils ignorent les techniques pour produire du feu et leur culture lithique (taille de pierres, silex) est quasi inexistante. Ils savent à peine s’abriter avec quelques branchages, réduits à vivre d’une manière à peine plus sophistiquée que les Homo habilis 2 millions d’années plus tôt.

Les Néandertaliens (ou apparentés) de la Guerre du feu sont réduits à s'abriter dans des entrées de grottes.
Les Néandertaliens (ou apparentés) de La Guerre du feu sont réduits à s’abriter dans des entrées de grottes.

Le niveau technique des Néandertaliens de La Guerre du feu (les Oulhamr et les Kzamm), mais aussi celui des Homo erectus ou apparentés (Wagabou) est donc très faible en comparaison de ce que nous a appris la préhistoire moderne. Quant à la sensibilité des individus, elle s’exprime principalement à coup de massue… Symptomatique de la bestialité qui leur est attribuée est l’absence d’attention pour les morts, alors que les premières sépultures ont environ 100 000 ans. Globalement, l’image des espèces humaines dans La Guerre du feu est celle d’une animalité (dont témoignent les « accouplements » intempestifs) qui ne correspond en rien à l’image renvoyée par les productions matérielles des groupes humains d’il y a 80 000 ans. Quant aux Ivaka Homo sapiens, comme nous le verrons, leur niveau technique est globalement celui du Solutréen (- 23 000 à – 18 000). Ces anachronismes nuisent à la représentation de la Préhistoire dans le film, mais aussi à sa cohérence, car il ne semble pas logique que des niveaux de développement et de techniques si différents coexistent avec autant de proximité.

En vérité, quelle est la logique du film ? C’est la question qui sous-tend ces trois articles. Dans la seconde partie de cette analyse du film La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud, nous traquerons les nombreux anachronismes et incohérences du film. Il est important de les relever, car cette œuvre a marqué de nombreux esprits par son imaginaire préhistorique plus fantasmagorique que scientifique, n’en déplaise au réalisateur et aux promoteurs du film qui ne cessaient de vanter la rigueur de sa reconstitution. En vérité, La Guerre du feu est un mythe en forme de fiction préhistorique, comme nous le montrerons dans la dernière partie, et c’est à ce titre qu’il conserve son intérêt.

Amoukar (Ron Perlman), Naoh (Everett McGill), Gaw (Nicholas Kadi), les trois héros atypiques de La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.
Amoukar (Ron Perlman), Naoh (Everett McGill), Gaw (Nicholas Kadi), les trois héros atypiques de La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud.

Cet article est la première partie de notre analyse du film La Guerre du feu de Jean-Jacques Annaud d’un point de vue scientifique :

L’auteur tient à remercier Gaëtan Bourgeois (du Paléosite de Saint-Césaire) pour sa passion et sa disponibilité, ainsi que pour avoir signalé l’existence du Chat-Huant.

Notes

1 – Rapporté par Jean-Jacques Annaud dans « La guerre du feu », Les cahiers de la Cinémathèque, 1982, n° 35/36, p. 208. Cité par Pascal Semonsut dans « La Préhistoire sur grand écran », Hominidés.com, 1er octobre 2010, https://www.hominides.com/html/prehistoire/prehistoire-cinema.php

23 – Entretien avec Jean-Jacques Annaud, avril 1998. Cité par Pascal Semonsut in ibid.

Article écrit par

Jérémy Zucchi est auteur et réalisateur. Il publie des articles et essais (voir sur son site web), sur le cinéma et les arts visuels. Il s'intéresse aux représentations, ainsi qu'à la science-fiction, en particulier aux œuvres de Philip K. Dick et à leur influence au cinéma. Il a participé à des tables rondes à Rennes et Caen, à une journée d’étude sur le son à l’ENS Louis Lumière (Paris), à un séminaire Addiction et créativité à l’hôpital Tarnier (Paris) et fait des conférences (théâtre de Vénissieux). Il a contribué à Psychiatrie et Neurosciences (revue) et à Décentrement et images de la culture (dir. Sylvie Camet, L’Harmattan). Contact : jeremy.zucchi [@] culturellementvotre.fr

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