Règlement du jeu
J’ai reçu une invitation hier pour la projection privée du nouveau film d’Ascanio Celestini, célèbre acteur et auteur de théâtre italien qui présentera ici son troisième
long-métrage, La Pecora Nera, quatre ans après Parole Sante. Je ne pourrai malheureusement pas m’y rendre car la projection aura lieu à 20h à
Paris… et je ne serai déjà plus sur la capitale, après un séjour des plus enthousiasmants.
En association avec Tendances Com, je vous propose donc de gagner deux places pour la projection, qui sera suivie d’une rencontre avec le
réalisateur dans les locaux de Bellissima Films.
Pour cela, vous avez jusqu’à dimanche 20h pour m’envoyer un e-mail avec votre nom (et éventuellement un numéro de portable si vous êtes peu dispo dimanche soir et lundi matin) à
cecile.desbrun@univ-lyon2.fr. Deux personnes seront tirées au sort parmi les participants et prévenues dans la soirée avant 22 heures. Comme le délai est très court, si vous
gagnez, merci de m’envoyer un mail de confirmation avant lundi 10h tapantes, sans quoi j’attribuerai l’invitation à un autre participant.
Vous trouverez ci-dessous toutes les infos utiles sur le film et la projection.
Le film
La Pecora Nera (La brebis galeuse)
Réalisé par : Ascanio Celestini
Avec : Ascanio Celestini, Giorgio Tirabassi, Maya Sansa, Luisa de Santis, Nicola Rignanese…
93mn
Sur les écrans le : 20 avril 2011
Synopsis : “L’asile est le lieu où se concentrent le plus grand nombre de saints.
Saints sont les pauvres fous qui dorment sous des draps chinois, suaires de
fabrication industrielle. Sainte est aussi la soeur qui, à coté de la petite lumière qui
illumine sa table de chevet, brille comme un ex-voto. Mais le saint des saints c’est
le docteur, il est Jésus Christ.”
C’est dans ces termes que Nicola nous raconte ces 35 ans “d’asile électrique”.
Dans son cerveau disloqué la réalité et la fiction entrent en collision et génèrent
des illuminations imprévisibles.
Nicola est né dans les années 60 “les fabuleuses années 60”, et le monde qu’il voit
à l’intérieur de l’institut psychiatrique n’est pas très diffèrent de la réalité que
vivent les gens à l’extérieur. Un monde toujours plus vorace, où la seule chose qui
semble ne pas pouvoir se consommer, est la peur.
La projection
Films.